• Voilà, George le prévoyait depuis un moment et c'est arrivé. George lift son bon vieux PC. Petit détails des travaux :

     

    Déjà, changer de boîtier. Une nécessité devant le bruit excessif que produit mon boîtier bas de gamme actuel. Donc autant ne pas faire les choses a moitié et zieuter vers du Antec :


    livré avec une alimentation SmartPower 2.0

    Donc pour le Silence, ça devrai le faire.

    Ensuite Carte mère et Processeur :

    ASRock 939 Dual-SATA2 - Chipset ULI M1695 - Socket 939 - Ports PCI Express et AGP - Audio 7.1 - LAN 10/100 - SATA / RAID - Garantie 2 ans.

    Et enfin, la Carte graphique :

    Twintech Nvidia GeForce 6600 GT 256 Mo GDDR3 - PCI Express 16x - Sorties TV et DVI - Garantie 1 an.

    Plus qu'as monter tout ça... 


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  • Jean-Louis Debré, le président de l'Assemblée Nationale, aurait dit àpropos du ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres qu'il est "un nul qui nous a mis dans la merde et qui, depuis le début, nous a embarqué dans une aventure".


    Cités mercredi par le Canard Enchaîné, les propos de Jean-Louis Debré sur la conduite du débat sur le projet de loi sur le droit d'auteur dans la société de l'information (DADVSI) ont été repris ce matin dans le quotidien 20 minutes. Mais qu'il nous soit permis de douter que M. Donnedieu de Vabres soit un nul.

    Il ne faut pas être nul pour faire voter sans fronde parlementaire un texte aussi répressif, liberticide, anti-économique, qui ne garantie ni les intérêts des internautes ni les intérêts des artistes, mais
    uniquement ceux des industries de la culture et des grands groupes informatiques. Il ne faut pas être nul pour faire de la France le seul pays à adopter une disposition qui tue l'innovation nationale, alors même qu'au royaume des MPAA/RIAA une disposition similaire avait été vivement
    rejetée par le Congrès. Il ne faut pas être nul pour faire passer en deux mois et demi d'un texte qui légalisait le téléchargement et assurait une rémunération aux artistes à un texte qui pénalise la copie privée et remplace la rémunération par des amendes pénales au seul bénéfice du budget de l'Etat.

    Il ne faut pas être nul surtout, pour être resté en place malgré le ridicule des procédures, l'insulte répétée à la démocratie, le désastre de la communication à 180.000 euros, ...

    Il ne faut pas être nul, il faut être dangereux.



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  • Le projet de loi relatif aux droits d'auteurs et droits voisins de la société de l'information (DADVSI) a été débattu jeudi soir pour la dernière fois. A cette occasion, vous étiez d'ailleurs nombreux à avoir visualisé en temps réel les débats sur le site de l'Assemblée Nationale. Ainsi, les amendes pour téléchargement illégal, dont nous vous parlions dans notre actualité intitulée DADVSI : reprise des négociations, viennent effectivement compléter le régime de sanctions graduées prévu par le texte. En effet, les députés ont adopté des dispositions relatives aux sanctions graduées contre les internautes échangeant des fichiers susceptibles d'être protégés par les droits d'auteur, notamment via les réseaux peer-to-peer. Le ministre de la Culture s'est félicité de ce texte réprésentant selon lui une avancée considérable.

    Des amendes de 38€ et 150€

    Ainsi, si l'on en croit les amendements votés par une assemblée, vous avez pu le constater (DADVSI : Suivez en direct les débats), quasiment vide de députés, une personne prise en flagrant délit de téléchargement de fichier protégé se verra infliger une amende de 38 euros. En outre, dans le cas où celle-ci met des fichiers à disposition d'autres internautes, cette amende atteindra 150 euros. Si l'on en croit les propos tenus pas le ministre de la Culture, les constats de téléchargement illégal seront réalisés par des logiciels dédiés qui releveront l'adresse IP de l'internaute contrevenant. Suite à quoi, un officier de police judiciaire constatera l'infraction.

    Copie privée

    Comme nous nous en doutions, dans une Assemblée vide de députés, les amendements proposés pour protéger la copie privée ont tous été rejetés et ce sera bel et bien un « collège des médiateurs » qui se chargera de gérer la copie privée. Officiellement il s'agit d'une autorité administrative indépendante, mais pour combien de temps ? Quand on voit le lobbying et les pressions exercées par les majors sur les députés (voir notre actualité intitulée Loi DADVSI : petites pressions entre amis), on se pose bien évidemment la question de savoir si cette entité peut rester favorable au consommateur alors même que le gouvernement vient de lui faire un croche-pied monumental. Selon le texte, le collège de médiateurs aura même le droit de décider que le nombre de copies privées autorisé sur un type de support est tout bonnement nul. Le DVD est à ce propos exclu de la copie privée, puisqu'il sera désormais interdit d'en faire une copie, même à titre privé.

    Le vote des amendements n'a pas attiré les députés


    Un système bien obscur

    Le procureur pourra ensuite demander l'identité de l'internaute à son fournisseur d'accès à Internet. « Cette procédure est totalement protectrice des libertés individuelles», a toutefois garanti le ministre. Pourtant, tout est loin d'être clair : le ministre laisse au conseil d'État le soin de décider les critères d'application des sanctions. Ainsi, il est toujours impossible de savoir si l'amende de 38 euros sera appliquée pour chaque fichier téléchargé ou bien pour l'ensemble de l'infraction. Selon lui, il est possible « d'imaginer des limitations dans le temps ou des seuils établis en fonction du nombre d'œuvres ou du poids des fichiers ». Un système complètement absurde, qui permettra probablement aux internautes de télécharger de gros fichiers compressés intégrant une grande quantité de chansons pour un prix, pardon, une amende modique.

    L'opposition et les associations se font d'ores et déjà entendre

    En effet si l'opposition a brillé par sa monumentale absence lors du vote des amendements dans la nuit de jeudi à vendredi, elle n'a pas manqué de rappeler qu'elle allait saisir le Conseil constitutionnel et dénonce un texte « usine à gaz », susceptible de banaliser le téléchargement illégal.

    De son côté, l'initiative EUCD.INFO constate que le gouvernement, le rapporteur, et la majorité ont décidé de ne pas protéger le logiciel libre, l'innovation, la libre concurrence et la copie privée. Ils sont revenus ouvertement à la logique originale du DADVSI : le tout répressif. L'initiative EUCD.INFO regrette que, malgré les six semaines passées à travailler avec des députés de la majorité, ni le ministre de la Culture, ni le rapporteur n'aient infléchi leurs positions. Ils ont obstinément refusé d'introduire les nécessaires modifications à l'article 7 pour que le logiciel libre soit effectivement protégé. Ils se sont entêtés à transformer la copie privée en copie contrôlée. Ils ont défendu bec et ongles la juridiction d'exception que constitue « le collège des médiateurs » et l'ont autorisé à interdire la copie privée de DVD. Enfin, M. Donnedieu de Vabres et M. Vanneste ont porté et fait adopter par la majorité la partie pénale de l'amendement Vivendi Universal, texte surréaliste qu'aucune démocratie dans le monde n'a jamais adopté. Le vote de la loi aura lieu le 21 mars.

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  • Si chaque année à son Ovni alors celui de 2006 sera gratiné. En effet Bollywood vient de finaliser son tout dernier petit bijou : un remake de Fight Club, le célèbre et controversé film de David Fincher.


    Des danses de folles...


    Alors évidemment la nouvelle ne fait pas sérieuse, on pense à une mauvaise
    blague ou à l'œuvre d'un mythomane que rien n'arrête, mais le premier
    film de Vikram Chopra possède déjà son site Internet, sa flopée de bande-annonces, ainsi que des extraits musicaux. Ils ont osé mais comment et surtout pourquoi ?


    Des acteurs super concernés...


    Outre le fait que l'essence jubilatoire tintée d'anarchisme du film de Fincher soit ici totalement édulcorée au profit d'un bastonnage sans temps mort, ce Fight Club du pauvre sent bon le kitsch pompeux comme seul Bollywood sait encore nous en produire.
    Les acteurs ont tous des gueules improbables affublées de brushings Jacques Dessange calibrés à la gomina, les accents locaux (le film est en anglais) taillent copieusement dans la crédibilité de l'objet, la réalisation s'annonce clippeuse à souhait en sus d'être risible.
    Néanmoins ça sent la grosse production de là bas, avec évidemment l'incontournable "Bollytouch" : des pauses musicales interminables où tous les protagonistes se mettent à
    danser sans raison valable, avec un enthousiasme incompréhensible pour le public plus placide de nos contrées.


    Il y a une façon de "remaker"
    singulière à Bollywood. Un style propre qui bien souvent fait fi des thèmes et du déroulement narratif original pour se concentrer sur un travail de copier/coller quasi-industriel de l'ambiance...Parfois même (comme c'est le cas ici) c'est un simple nom connu qui se retrouve affublé d'un nouveau film aux antipodes du premier, le comble du prétexte. Ce Fight Club là n'a de Fight Club que le blase. Ne vous attendez donc pas à une nouvelle variation sur les thèses de Chuck Palahniuk.
    De toute manière ne vous attendez à rien, puisque le film ne verra sans doute pas le jour sur nos écrans, même s'il semble calibré avec espoir pour l'export.


    Des chorégraphies incomparables dans des décors de péplum...
    pas de doute c'est Fight Club la honte.


    Bollywood qui veut prendre de l'ampleur et à se dédouaner de son étiquette d'industrie de seconde zone, gonfle le torse en adaptant des succès occidentaux (ou orientaux...souvenez-vous : Zinda le remake de Old Boy) à la sauce indienne. Notons tout de même que les budgets indiens s'enflamment et que le premier producteur mondial en volume semble bien décidé à gagner les galons internationaux qui lui manquent encore. Il reste de la route à faire. Mais si les productions locales persévèrent avec ce genre de machins, les chances de succès tomberont sûrement en dessous de la limite légale de la crédibilité cinématographique.

    Les bandes-annonces foutent de bonne humeur : http://www.twitchfilm.net/archives/004962.html

    Le Site Internet est témoin du fric englouti dans ce truc de malheur : http://www.fightclubmembers.com


    11 commentaires

  • Incroyable, mais vrai !!! Les emmeutes des banlieues vues par les Etats Unis...

    N'oubliez pas que FOX News a fait
    partie de la campagne pro-guerre en Irak et que O'Reilly a été un des
    plus violent attaquant de la position de Chirac.

    FOX est aussi un des plus grands groupe de News aux USA.

    Extrait video sur ce Blog

    2 commentaires


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